Comme ce n’est pas le cas partout en Europe, il faut souligner que l’on peut bien manger au quotidien en Hongrie. La terre est riche, le climat tempéré, la population gourmande et cultivée.
Au-delà des classiques viandes, on trouve aussi du gibier et différents poissons d’eau douce. Tout ne se réduit pas à un fond de sauce « goulasch ». Les modes de préparation sont variés.
Qui lit l’anglais et/ou l’allemand devrait pouvoir lire la carte des mets de la plupart des restaurants dans les zones intéressantes pour l’étranger de passage. Un plat simple et une boisson coûteront moins de 10 euros par personne. Les prix augmentent avec la viande de bœuf, le foie gras, certains plats bien sûr.
Le petit problème est que l’on ne peut pas se contenter d’une assiette/ plat principal en général copieux dans les restaurants de catégorie moyenne, si l’on souhaite manger équilibré. En effet l’apport protéinique sera soit enrobé d’une chapelure, qui prend mieux la matière grasse de cuisson, soit d’une sauce généreuse à la crème. La garniture « variée » sera composée en même temps de pommes de terre (frites ou autres) ET de riz, avec une rondelle de poivron, un quart de tomate et une rondelle de concombre. Il faut donc commander à part les légumes (l’Italie n’est donc pas seule).
Autre détail ethnique à prendre en compte : la salade froide pourra être composée de légumes vinaigrés/ saumurés : donc bien lire la carte.
Un détail « croustillant » : situés parfois pas trop loin d’une des fenêtres de cuisine des restaurants, nous nous étonnions d’entendre des grands coups « à plat » dans des restaurants qui n’étaient pas des pizzerias. Vers la fin, j’ai compris qu’ils attendrissent et aplatissent, vraisemblablement au marteau de cuisine, les escalopes pour les « Wienerschnitzel ».
Quelle que soit la température extérieure, le Hongrois commence par une soupe, mais ne finit pas forcément par un dessert, sans parler de fromage. Le gazpacho local, comme soupe froide en entrée : celle à la cerise, avec le bord de l’assiette recouvert de chantilly.
Pour les motorisés descendus dans une panzio (petit hôtel avec ou sans restaurant) ou en appartement louable pour quelques jours, le recours existe : ils sont en général équipés d’un réfrigérateur dans la chambre et parfois d’une petite cuisine. Toute ville moyenne à grande dispose de grands supermarchés ou hypermarchés TESCO (la chaîne britannique) ET SPAR. On peut donc s’organiser un repas froid et/ou simple pour changer.
En outre, le petit déjeuner, assez variable en quantité et qualité suivant les établissements visités, est dans la majorité des cas inclus dans le prix de la chambre (à faire préciser cependant) et plus consistant qu’un petit déjeuner standard d’hôtel français.
Enfin, après un effort intensif de visite de ville, de musées, d’églises, de châteaux, il faut des sucres rapides, assimilables dans les pâtisseries-salons pour une somme assez modique. Un break slow agréable dans l’après-midi avant de redémarrer.
Au-delà des classiques viandes, on trouve aussi du gibier et différents poissons d’eau douce. Tout ne se réduit pas à un fond de sauce « goulasch ». Les modes de préparation sont variés.
Qui lit l’anglais et/ou l’allemand devrait pouvoir lire la carte des mets de la plupart des restaurants dans les zones intéressantes pour l’étranger de passage. Un plat simple et une boisson coûteront moins de 10 euros par personne. Les prix augmentent avec la viande de bœuf, le foie gras, certains plats bien sûr.
Le petit problème est que l’on ne peut pas se contenter d’une assiette/ plat principal en général copieux dans les restaurants de catégorie moyenne, si l’on souhaite manger équilibré. En effet l’apport protéinique sera soit enrobé d’une chapelure, qui prend mieux la matière grasse de cuisson, soit d’une sauce généreuse à la crème. La garniture « variée » sera composée en même temps de pommes de terre (frites ou autres) ET de riz, avec une rondelle de poivron, un quart de tomate et une rondelle de concombre. Il faut donc commander à part les légumes (l’Italie n’est donc pas seule).
Autre détail ethnique à prendre en compte : la salade froide pourra être composée de légumes vinaigrés/ saumurés : donc bien lire la carte.
Un détail « croustillant » : situés parfois pas trop loin d’une des fenêtres de cuisine des restaurants, nous nous étonnions d’entendre des grands coups « à plat » dans des restaurants qui n’étaient pas des pizzerias. Vers la fin, j’ai compris qu’ils attendrissent et aplatissent, vraisemblablement au marteau de cuisine, les escalopes pour les « Wienerschnitzel ».
Quelle que soit la température extérieure, le Hongrois commence par une soupe, mais ne finit pas forcément par un dessert, sans parler de fromage. Le gazpacho local, comme soupe froide en entrée : celle à la cerise, avec le bord de l’assiette recouvert de chantilly.
Pour les motorisés descendus dans une panzio (petit hôtel avec ou sans restaurant) ou en appartement louable pour quelques jours, le recours existe : ils sont en général équipés d’un réfrigérateur dans la chambre et parfois d’une petite cuisine. Toute ville moyenne à grande dispose de grands supermarchés ou hypermarchés TESCO (la chaîne britannique) ET SPAR. On peut donc s’organiser un repas froid et/ou simple pour changer.
En outre, le petit déjeuner, assez variable en quantité et qualité suivant les établissements visités, est dans la majorité des cas inclus dans le prix de la chambre (à faire préciser cependant) et plus consistant qu’un petit déjeuner standard d’hôtel français.
Enfin, après un effort intensif de visite de ville, de musées, d’églises, de châteaux, il faut des sucres rapides, assimilables dans les pâtisseries-salons pour une somme assez modique. Un break slow agréable dans l’après-midi avant de redémarrer.
Suivant la saison, on trouve en étal de bord de route, sur les marchés ou les commerces alimentaires, des fruits assez facilement.
Sur certaines voies, les mirabelliers et autres pruniers ou arbres fruitiers sont en libre accès. Il suffit de lever le bras.
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