Belle exposition, qui ne donne pas l'impression de redite par rapport à celle vue au Tate Modern de Londres vue en 2004. Avec notamment la découverte de son début de carrière.
Et toujours ce sentiment de voir ses oeuvres à un double niveau:
- des couleurs souvent gaies et engageantes avec une impression de vide et au minimum de mal-être.
- une apparente simplicité des sujets et du trait face à un univers très construit.
-une vision et une façon de peindre très nord-américaine, avec un peu d'autre chose.
J'ai éprouvé une grande satisfaction d'avoir pu visiter cette belle exposition dans de bonnes conditions:
- attente très limitée à l'extérieur (1/4 h)
- public en quantité encore supportable à l'intérieur
- ceci grâce à un minimum de planification (réservation 3-4 semaines à l'avance) et de contre-programmation (choix du jour: lundi 24/12 à 9h30)
http://www.grandpalais.fr/grandformat/exposition/edward-hopper/