Ici comme ailleurs, nous faisons parfois sourire par notre équipement: un à deux guides livres, un plan de la ville, sur lequel on fera reporter son hôtel et ses lieux de rendez vous; une boussole (notamment utile de nuit et les jours sans soleil) et, indispensable en Chine, la carte de visite de son hôtel écrite en chinois, de même que la retranscription des lieux (nom et adresse) dans l'idiome local.
Cela dit, grâce à cela, nous nous perdons nettement moins que d'autres.
Shanghai garde l'avantage d'avoir des plaques de rues traduites avec, selon le cas, les indications N, S ou W, E pour les points cardinaux. De même le métro est traduit partiellement. Les chauffeurs de taxi et les passants savent lire, mais ne s'expriment que rarement dans une langue européenne.
La langue chinoise est bien sûr quelque peu différente des nôtres, notamment avec les 4 tons du "mandarin" ou putonghua, qui peuvent, chacun, donner un sens différent; avec l'exemple de "ma" : ton haut (et plat) ma écrit en pinyin avec un accent plat signifie "mère"; ton montant, accent grave, ma = chanvre; ton descendant-montant, accent circonflexe inversé, ma = cheval; ton descendant, accent aigu, ma = gronder, jurer. La retranscription (romanisation des termes chinois) a changé en 1979 officiellement ce qui fait que Pékin est devenu Beijing , Tsé-toung, Zedong. Donc, même sans être adepte du cirque, chinois ou autre, il faut apprendre avec patience, s'entraîner, et jongler. Se faire écrire des petites phrases type en chinois sur des bouts de papier à conserver est judicieux. A défaut, prendre le guide Lonely Planet avec une petite loupe (un des seuls guides avec de l'écriture chinoise, non seulement pour les lieux et adresses, mais aussi pour les phrases-type).
On ne meurt pas de faim dans cette ville, mais là aussi un peu de préparation sera utile, car de nombreux restaurants sont "taillés" pour de grandes tablées ( 8 à 10 personnes, avec les fameux plateaux de centre de table tournants) et avec des salles de bonne dimension
Cela dit, grâce à cela, nous nous perdons nettement moins que d'autres.
Shanghai garde l'avantage d'avoir des plaques de rues traduites avec, selon le cas, les indications N, S ou W, E pour les points cardinaux. De même le métro est traduit partiellement. Les chauffeurs de taxi et les passants savent lire, mais ne s'expriment que rarement dans une langue européenne.
La langue chinoise est bien sûr quelque peu différente des nôtres, notamment avec les 4 tons du "mandarin" ou putonghua, qui peuvent, chacun, donner un sens différent; avec l'exemple de "ma" : ton haut (et plat) ma écrit en pinyin avec un accent plat signifie "mère"; ton montant, accent grave, ma = chanvre; ton descendant-montant, accent circonflexe inversé, ma = cheval; ton descendant, accent aigu, ma = gronder, jurer. La retranscription (romanisation des termes chinois) a changé en 1979 officiellement ce qui fait que Pékin est devenu Beijing , Tsé-toung, Zedong. Donc, même sans être adepte du cirque, chinois ou autre, il faut apprendre avec patience, s'entraîner, et jongler. Se faire écrire des petites phrases type en chinois sur des bouts de papier à conserver est judicieux. A défaut, prendre le guide Lonely Planet avec une petite loupe (un des seuls guides avec de l'écriture chinoise, non seulement pour les lieux et adresses, mais aussi pour les phrases-type).
On ne meurt pas de faim dans cette ville, mais là aussi un peu de préparation sera utile, car de nombreux restaurants sont "taillés" pour de grandes tablées ( 8 à 10 personnes, avec les fameux plateaux de centre de table tournants) et avec des salles de bonne dimension
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